Keremma est, avec Chambéry, le lieu de mes souvenirs de jeunesse.
Un bord de mer, dans le Finistère nord, né de l’idéal de mon arrière-arrière grand père, qui a construit une digue derrière laquelle il a asséché 1500 hectares pour y bâtir l’oeuvre de sa vie : un phalanstère fouriériste. Son idéal a été quelque peu trahi par les générations qui lui ont succédé.